Lorsque je reconnais mon hypersensibilité, je prends conscience de mon plein potentiel.

JE RECONNAIS QUE JE SUIS HYPERSENSIBLE

J’ai appris que j’étais hypersensible à l’âge de 40 ans, sensiblement au même moment j’apprenais par le biais de thérapeute que mes enfants étaient eux aussi hypersensibles.

Cette prise de conscience me permet alors de mieux me comprendre, de comprendre mes réactions souvent jugées excessives, les réactions de mes enfants.

La compréhension me guide vers l’indulgence envers moi-même, le pardon et l’amour envers moi-même.

J’entends mes propres mots tellement sévères à mon égard et à l’égard de l’autre. Je réalise à quel point je me suis fait du mal.

Les questions restent sans réponse pour ces personnes hypersensibles qui ont passé toute une vie au service de l’autre.

Une maman pour son enfant, une épouse pour son mari, un enfant pour ses parents, de belles relations qui ont leur part d’obscurité. 

Ici comme lors de mes thérapies, je vous demande de laisser la culpabilité de côté. L’être humain est ainsi, il n’y pas de bien ou de mal, oubliez la vision manichéenne. 

J’ACTIVE MON POTENTIEL

D’abord il a fallu que je prenne conscience de mon potentiel. Trés franchement, ça n’a pas été simple. Imaginez bien et vous n’en aurez aucune difficulté, parce que si vous lisez cette page c’est que vous êtes sûrement hypersensible vous-même.

Moi haut potentielle ? Zèbre ? En creusant un peu je me rends bien compte que je me suis toujours sentie différente , je me suis toujours posée des questions existentielles. J’ai toujours manqué  de confiance en moi sans compter mes « excès » de colère , de rire, de larmes.

Les expressions comme : Les nerfs à vif, à fleur de peau, burn out peut-être résonne en vous?

Pour ma part je ne peux que valider : je suis Haut Potentiel Emotionnel.

C’est vrai que je suis une éponge émotionnelle et que je suis intuitive…

Grâce à mon don de guérisseuse qui arrive peu de temps après, je comprends que mon potentiel est activé, que j’ai activé cette zone endormie et que les neurosciences expliquent parfaitement.

Je réalise alors que le champ des possibles est infini. 

Je regarde le chemin que j’ai parcouru, je multiplie les rencontres avec d’autres profils comme le mien.

Et puis je me fais de plus en plus confiance et je  décide d’accompagner parce qu’à mon tour je peux accompagner les autres vers leur épanouissement personnel.

Est-ce que mon histoire fait écho ?